La Bérézina


Bérézina:

Biélorussie: Rivière de la Biélorussie, affluent du Dniepr, 613 km.

Carte situant La Bérézina

   Pendant la retraite de Russie, en novembre 1812, les Français de Napoléon premier passèrent la Bérézina grâce à l'héroïsme des pontonniers du général Éblé et sous la protection de l'arrière-garde Suisse, qui se sacrifia.

 

   Le passage de la Bérézina (du 25 au 29 novembre 1812) est le résultat d'une bataille qui permet aux débris de la Grande Armée d'échapper à son encerclement par les Russes. Ceux-ci capturent cependant 10,000 traînards.

Les soldats Français fuient par La Bérézina

   Cette expression populaire exprime en fait la grande confusion (le bordel) lors d'un évènement quelconque pour montrer le chaos que provoqua la fuite de plusieurs milliers de soldats qui devaient passer sur un pont très étroit pour échapper à l'ennemi.

 

   Je l'ai choisie pour démontrer le courage de ces pilotes qui doivent tout de même composer avec les dangers et surtout avec les inconvénients rencontrés très souvent lors des courses de Formule 1; sans oublier les autres types de courses. Je l'ai également choisie pour souligner le magnifique travail que fait Christian Tortora depuis plusieurs années, qui se consacre coeur et âme afin de faire connaître aux francophones nord-américains ce magnifique sport (La Bérézina est également l'une de ses expressions favorites).

Christian Tortora

 

Pour les férus d'histoire:

Campagne de Russie: Nom donné à l'expédition menée contre la Russie par Napoléon Ier en 1812. La rupture entre l'empereur des Français et le tsar Alexandre Ier fut provoquée par la volonté de ce dernier de rompre le Blocus continental et d'empêcher la reconstitution de la Pologne. Napoléon déclencha les hostilités le 24 juin en faisant franchir le Niémen à la Grande Armée, forte alors de quelque 600 000 hommes. La tactique des généraux russes consistant à faire le vide devant les Français, Napoléon s'enfonça dans l'intérieur du pays et ne livra qu'une grande bataille, celle de la Moskova (7 septembre) avant d'entrer à Moscou le 14 septembre. Dans la ville vidée de ses habitants et ravagée par des incendies, il attendit en vain que l'ennemi se décidât à négocier, puis finit par ordonner la retraite (19 octobre). Celle-ci tourna rapidement au désastre, en raison d'un hiver précoce et particulièrement rigoureux. Les soldats de la Grande Armée, privés de ravitaillement, harcelés par les cosaques et les partisans, périrent par centaines de milliers au cours de la déroute, dont le passage de la Berezina (26-29 novembre) constitua l'épisode le plus tragique. Le 30 décembre, l'armée, réduite à environ 50 000 hommes, repassait le Niémen.

Les français perdirent en tout 400 000 hommes, 175 000 chevaux et 1000 canons, tandis que les russes perdirent 250 000 hommes et 50 000 cosaques. 36 000 corps furent repêchés dans la rivière après le dégel. Les personnages les plus importants de ce conflit furent : le maréchal Claude Victor Perrin, le général Juvénal Corbineau, le général Jean-Baptiste Éblé, le général Nicolas Charles Oudinot, le général Philippe Paul de Ségur, le feld-maréchal Mikhaïl Iliaronovitch Koutousov et Petr Christianovitch Wittgenstein.

Quelques images anciennes et récentes

Illustration 1

Illustration 2

Illustration 3

Illustration 4

Carte de la bataille

Pont de la Bérézina

Illustration du pont

Grenadier

Pont pour voitures

Rive droite de la Zanivski

Vue du pont actuel

La Studianka

La Studianka

Studianka : par où les français arrivèrent

Studianka : par où les français arrivèrent

Studianka : par où les français arrivèrent

Village de la Studianka

Pont actuel

Monument à La Studianka

Monument Brill

Napoléon Bonaparte

Napoléon 1

Le général Oudinot

Claude Victor Perrin

Le général Corbineau

Le général Éblé

Le prince Koutousov

Le général Ségur

Wittgenstein

L'aigle de Napoléon 1

Paysage